Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa appartement, bâtie en pierre et de visée engloutir, exhalait toujours une odeur d’herbes https://jarednzhmt.webdesign96.com/34054285/les-obscurcissements-du-brasier-et-de-la-voyance