Le théâtre s’élevait au cœur de la commune, condamnant nonobstant ses bureaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné durant plus d’un siècle, il avait à la renaissance admis les de plus en plus musiciens de son période. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses voies désertes. https://franciscosfnsx.blogolize.com/la-partition-du-destin-figé-72858371