Le manoir se dressait, pénible, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une composition de verre et de métal résistait encore au siècles : une serre oubliée, ésotérique en arrière un mur de végétation sauvage. https://gregoryjpolg.activablog.com/32933964/la-date-figée