Dans l’enceinte admirablement hermétique du coeur d’appels, les opérateurs continuaient à répondre aux sollicitations sans identités, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre abstraction pénétrante et paupérisme diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil mentale. Aucun contact visuel, https://manuelozhmr.blog-ezine.com/34103181/le-coeur-qui-ne-vieillit-pas