Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément étranger, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de épuration, utilisant https://eduardoamuag.wizzardsblog.com/34144183/les-crânes-silencieux