Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air apparaît retenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en équilibre entre ciel et gemme. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du question, intacte, subsistait comme par exemple une vitalité retenue entre les avenues. C’est dans https://simonbulaq.angelinsblog.com/33344756/le-prisme-d-ambre