Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond en plein coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une mÅ“urs née d’un fait traditionnel répété continuellement. https://trevorgrxbd.mdkblog.com/40073871/le-bombe-des-contours